Entre vous et moi

Entre vous et moi

Enchantée, moi c'est Blandine : autrice et animatrice d'ateliers d'écriture.

Mon objectif ? Vous permettre d'écrire, raconter, créer et communiquer.

Pour ce faire, j’ai fondé Fibre de plume en 2022 : une microentreprise d’aide et conseils en écriture et narration.

J’ai la fibre pour l’écriture — j’habite Lyon, où je bénéficie également de la fibre optique. La fibre, pour moi, c’est à la fois la passion et la modernité. Ce sont les doigts qui martèlent le clavier sous l’influence des idées débordantes. La plume renvoie plutôt au classicisme, à une certaine forme de tradition, à l’encre sur le papier et au graphisme appliqué, à la réflexion et à la prise
de recul.

De fait, j’aime associer passion et professionnalisme, rigueur et créativité, méthode et l’inventivité. J’imagine, j’explore, en m’appuyant sur des règles et des stratégies qui me rassurent et m’assurent d’arriver à bon port.

Je peux écrire sur le papier ou sur un écran, au gré de mes envies, ressentis, besoins… et des vôtres.

Je suis

Méthodique

Méthodique

Parce que les méthodes et le savoir-faire font gagner en confiance, en efficacité et en créativité. La carte et la boussole n’empêchent pas de profiter du paysage. Elles évitent simplement de tourner en rond.

Passionnée

Passionnée

Je ne conçois pas travail sans œuvrer pour ce qui m’intéresse dans l’existence. Je ne conçois pas non plus la vie sans pouvoir mettre mes compétences et aptitudes au service d’autrui.
J’aime me sentir utile dans ce qui me plaît.

Empathique

Empathique

J’aime me mettre à votre écoute, vous comprendre, et m’efforcer de répondre à vos besoins.

Curieuse

Curieuse

Dans mon existence privée, j’aime découvrir de nouveaux auteurs, de nouvelles formes d’expression. Dans ma vie professionnelle, j’aime essayer des méthodes. Je suis toujours en quête de trucs et astuce. Je possède un appétit vorace pour toute forme de connaissance. J'adore apprendre y compris en animant des ateliers et en accompagnant d'autres apprenants.

Est-ce que je peux vous confier un secret ?

Avez-vous déjà éprouvé l’envie d’écrire, de raconter des histoires ?
Vous êtes-vous retrouvé bloqué dans votre élan, tout cela à cause de ce fichu sentiment d’être mauvais, prétentieux, sans talent ? Avez-vous laissé tomber des projets littéraires, par manque de confiance ou de savoir-faire ?

Sans doute que oui…

Eh bien, moi aussi.

À l’époque bénie de l’enfance, je rédigeais, sur des cahiers à gros carreaux,
des récits inspirés de mes lectures de l’époque — Le club des cinq, Fantômette, Les six compagnons, l’époque était certes bénie, mais pas encore très fournie en littérature de jeunesse. Quand je m'imaginais adulte, c’était toujours assise derrière un bureau en bois laqué, en train de pianoter fébrilement sur une
machine à écrire. Là encore, en cette époque bénie, on concevait mal une vie quotidienne avec des ordinateurs.

Puis arriva l’adolescence, et avec elle, les boutons d’acné, le premier walkman, mais également les doutes. Je voulais toujours écrire. Je continuais à lire.
Mais j’ai commencé à me comparer. À l’âge de dix-huit ans, je me suis inscrite
en fac de lettres modernes. L'étude de la littérature et de la langue française me passionnait. En même temps, les questionnements m'oppressaient chaque jour davantage. Comment pouvais-je espérer rivaliser avec Flaubert ou Hugo ? Sans le savoir, je subissais le discours environnant, implicite mais toxique : « Si tu es un génie littéraire, alors tu peux écrire ; sinon merci de garder le silence. »

Un jour, j’ai relu un commencement de roman (gothique) que j’avais entamé la veille. J’ai jugé le résultat nul. J'ai décidé que ma nullité, en plus d’être définitive, s'avérait impardonnable. J’ai tout jeté à la poubelle. Et j’ai cessé d’écrire.

Je suis partie travailler en bibliothèque. C’était plutôt sympathique. J’aimais toujours me plonger dans les œuvres d’autrui. J’appréciais de partager autour de la lecture et de la culture. Cette expérience a développé en moi le goût de l’animation et de la médiation.

Pourtant, je sentais bien qu’il me manquait quelque chose. Vous connaissez
le syndrome du membre fantôme des amputés ? Je vivais avec ce ressenti
permanent de passer à côté d’une dimension essentielle de mon existence. Hélas, je me sentais impuissante.

Et puis, il y a une quinzaine d’années, j’ai entendu parler des ateliers d’écriture. Au début, j’en ai trouvé l’idée ridicule. Je croyais dur comme fer à la tradition romantique française : on nait écrivain, on ne le devient pas, et aucun atelier ni aucune formation n’y changera quoi que ce soit.

J’ai quand même poussé la porte — au point où j’en étais…

Et, à force d’expérimenter, d’échanger, d’écrire et réécrire, quelque chose s’est décoincé et dérouillé dans ma tête.

Un déclic s’est produit. Cela n’a pas été miraculeux, plutôt progressif, mais un mouvement s’est amorcé. J’ai recommencé à écrire. L’envie et le réflexe étaient revenus. Cependant, j’ai également pris conscience qu’il me manquait toujours des compétences pour avancer et me sentir pleinement confiante en mes capacités. Je prenais des notes, je tenais un journal, j’écrivais des débits ou des bribes d’histoire. Mais je ne terminais rien. Toujours le même problème.

Je me suis alors formée pendant trois ans à la narration littéraire. Ce fut complexe, stimulant et challengeant. J’ai éprouvé l’envie d’approfondir les notions abordées en cours : j’ai lu plusieurs dizaines de manuels et d’ouvrages théoriques sur l’écriture, parfois en français, le plus souvent en anglais.
J’ai assisté à de nombreux masterclass.

Et le miracle s’est produit : j’ai écrit des nouvelles, je les ai publiées en recueil.
Et j’ai conçu trois synopsis de roman de 20 pages chacun qui n’attendent qu’à être développés.

En même temps, j’ai ressenti le besoin de mener une vie plus indépendante et créative et de partager tout ce nouveau savoir avec les apprentis écrivains qui ont connu, comme moi, galère, inhibition, découragement. J’ai commencé à animer des ateliers bénévolement.
Et j’ai suivi une formation à l’animation d’ateliers d’écriture à l’Université Lyon 2, avant de me lancer dans le grand bain.

Mes projets :

Écrire (enfin) mon roman
Me former à l’écriture de biographie

Ce que m’ont appris les formations en écriture et les échanges avec les participants, animateurs, auteurs et autrices

Tout le monde a le droit d’écrire à partir du moment où on en ressent l’envie.

Nous avons tous quelque chose à raconter.

Écrire s’apprend. Ou plus exactement, la partie technique de l’écriture peut se transmettre.

Personne ne devient écrivain du jour au lendemain, il faut savoir persévérer.

Partager ses textes avec autrui est motivant et enrichissant.

Parce que je ne fais pas qu’écrire et lire…

Je suis maman d’une préadolescente elle-même passionnée d’écriture — je vous jure que je n’y suis pour rien...

J’habite Lyon, la troisième ville de France après Paris et Marseille. Vous pourrez m’y croiser sur les berges du Rhône ou de la Saône ou encore en train de boire des expressos dans différents cafés.

J’aime aussi

  • Les jeux de société
  • Les films d’horreur
  • Les chats
  • Les neurosciences et la psychologie

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